Être maman après 40 ans
Je pense qu’être mère à 41 ans permet d’être plus à l’écoute de ce que peuvent nous dire les professionnels de santé. On se fait plus facilement confiance car on est à un âge où on se connaît mieux.
Je pense qu’être mère à 41 ans permet d’être plus à l’écoute de ce que peuvent nous dire les professionnels de santé. On se fait plus facilement confiance car on est à un âge où on se connaît mieux.
Comment définir les violences conjugales ? Quelles répercussions ont-elles ? Quelles sont les prises en charges possibles pour la victime ?
Les familles recomposées sont aujourd’hui nombreuses. Les séparations puis les remariages sont fréquents et, depuis quelques années, l’enjeu est alors de trouver sa place lorsque l’on devient « beau-parent ».
L’arrivée du premier enfant transforme le couple conjugal en un couple parental et va venir modifier profondément la dynamique du couple.
Lorsqu’un ou plusieurs enfants sont nés de cette union, la séparation amoureuse est aussi l’occasion d’une séparation familiale. Néanmoins, le couple parental doit continuer à exister et on parle alors de coparentalité.
Elles sont là, indicibles, inaudibles, et pourtant elles nous empoisonnent : les injonctions. À l’origine, une injonction est un ordre donné par un juge — sauf qu’ici, le juge, c’est nous.
Lorsque l’on subit la charge mentale, on ne peut pas laisser de la place au désir. Dès lors, la sexualité va être perçue comme une chose supplémentaire à penser.
Suite à un accouchement, les premiers mois peuvent être très difficiles, surtout quand on se retrouve seule. Mais avec le temps, ça finit par passer. Il faut se faire confiance en tant que parents, s’écouter et suivre son rythme.
Que l’on soit célibataire ou en couple, le soir doit être ritualisé, pour aider notre cerveau à comprendre et à se préparer au coucher. Le rituel du coucher va être d’autant plus important chez les couples.
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